La diabolisation du blanc, la victimisation permanente des noirs et des arabes
Publié le mercredi 22 mars 2017 - Article - Lien permanent
La diabolisation du blanc, la victimisation permanente des noirs et des arabes
La culture de l’excuse gauchiste ne s’applique qu’à certaines catégories de population, à qui on prête en général une innocence a priori, comme si ces gens étaient dans leur essence, incapables de faire le mal.
Le noir ou le maghrébin a l’excuse du « racisme », de la « discrimination », des « bavures policières », de la pauvreté dont il est la victime (même quand son grand frère roule en BMW ou détourne des centaines de milliers d’euros au calme, cf. l’affaire de la famille Lukaha). La connasse bobo a l’excuse d’être « harcelée » parce qu’un jour un homme pas assez beau ou intéressant pour elle a osé l’aborder alors qu’elle écoutait le dernier album de Raphaël tranquillement !
Nous, par contre, on n’a jamais droit à l’environnement et à des circonstances personnelles handicapantes pour nous excuser, nous enlever le blâme et nous rendre plus sympathique aux yeux des juges, et ce, même quand ce serait juste de les invoquer.
Le Blanc qui galère à séduire n’est jamais excusé même quand il a été élevé par sa mère uniquement, élevé dans un féminisme qui considère tous les dragueurs comme des « salauds », et généralement privé de connaissances effectives de la femme.
Le Blanc qui en a marre des ar.bes, comme dirait quelqu’un, n’est jamais excusé par le comportement réel et objectif des allogènes qu’il subit tous les jours et qui JUSTIFIE TOTALEMENT qu’il en ait plein le cul !
Non, là, le Blanc est responsable de ses malheurs et de ses frustrations… alors même qu’il n’est pour rien dans la situation pourrie où on l’a placé (ce n’est pas lui qui a voté l’immigration de masse, mais il en subit les conséquences désastreuses)! Mais là, ce n’est pas compté, ce n’est pas considéré, et on le blâme comme on ne blâme jamais les « minorités » reconnues comme telles. Je mets minorités entre parenthèses car il est évident que les populations africains sont en passe de devenir majoritaires en terme de nombre sur le territoire français. C’est une question d’années, même pas de décennies.
Ce qui amène à constater le paradoxe suivant : les soi-disant minorités sont reconnues et institutionnalisées MAIS aussi considérées comme victimes de leur environnement ; les jeunes Blancs en revanche sont blâmés, exclus, non-reconnus, périphérisés, MAIS jamais considérés comme victimes de leur sort.
Pour éviter de reconnaître cette contradiction, le gauchiste va souvent inventer quelque chose de nébuleux et d’irréel (la « culture du viol » chez certains peuples orientaux ou le « racisme structurel » de la société française), nier la réalité (« non mais le racisme anti-blanc ça n’existe pas, faut arrêter ! »), ou en venir directement aux attaques personnelles (« de toute façon t’es qu’un sale frustré », comme si la frustration rendait illégitime une plainte, les minoritistes se plaignant bien eux aussi d’être frustré-e-s par leurs échecs, et semblent avoir le droit de le faire).
Bref, le Blanc se fait frapper dans la cour de récréation, et quand il en reparle avec amertume, on le moque :
« Pouah, LOL… Tu dis ça des algériens parce qu’à l’école, tu étais le souffre-douleur, hein ? »
Ben oui, précisément. Et pourquoi tu te moques de cette souffrance, couillon ? Je n’ai pas droit à un peu de compassion, fils de gauchiasse ?
Kim Noisette
Suavelos.eu